On parle de cybersécurité
Presque chaque jour, nous entendons parler d'une organisation, d'une personnalité politique, d'une banque ou même de l'iPhone de Jennifer Lawrence dont les données ont été exposées. Le public fait preuve d'indifférence vis-à-vis de ce concept et l'accepte comme un risque de la vie moderne.
En revanche, les institutions chargées de la protection des frontières, de la protection du bien-être et de la vie de ses citoyens et des agences de renseignement militaire sont particulièrement sensibilisés par ce sujet.
Les 14 milliards d'Obama
En 2016, Barack Obama avait alloué un budget de 14 milliards de dollars à la cybersécurité et pourtant, la cybersécurité reste toujours un problème pour les agences fédérales américaines.
Qu'il s'agisse de hameçonnage, de logiciels non corrigés, de chevaux de Troie d'ingénierie sociale ou de toute autre technique de cyberterrorisme, le point faible d'une organisation est la capacité qu'a le pirate informatique, une fois à l'intérieur du système, de se déplacer sans se faire détecter.
Accès refusé
Pour réduire ce risque, la plupart des organisations déploie désormais un «commutateur sécurisé » qui permet de séparer l'accès au réseau principal de celui du réseau classifié. L'utilisateur doit se servir du commutateur physique pour sélectionner le réseau de son choix, tout en ayant la garantie qu'en cas d'accès non autorisé au réseau principal, le pirate informatique ne peut pas accéder au réseau classifié.
Il est certifié
Le commutateur de bureau sécurisé de Vertiv breveté « anti- Falsification, actif, toujours opérationnel », signifie qu’avec « l'isolement » les équipements chargent tous les micrologiciels sur une mémoire morte (ROM) sans les mettre en mémoire tampon.
La réputation est un facteur de survie essentiel pour les gouvernements, la police, l'armée, les institutions financières et les établissements de santé.
Le commutateur SwitchView Secure de Vertiv aide ces organisations à protéger leur réputation.